L’Illustre Maurin
❖
Jean Aicard
(1908)
-
Chapitre premier
-
Chapitre II
-
Chapitre III
-
Chapitre IV
-
Chapitre V
-
Chapitre VI
-
Chapitre VII
-
Chapitre VIII
-
Chapitre IX
-
Chapitre X
-
La métaphysique de Pastouré.
-
Un entretien au cours duquel Maurin explique à Tonia la différence qu’on peut trouver entre polygamie et polyandrie.
-
Où il apparaît avec la plus grande évidence que, selon le point de vue des juges, le même acte peut mériter à son auteur une décoration ou lui attirer une contravention.
-
De l’influence du tabac sur les habitations lacustres vers la fin du XIXe siècle et où l’on pourra suivre le fil de la mystérieuse complicité qui relie parfois les délinquants aux représentants de l’ordre et des lois.
-
Chrysalide dans un marais.
-
Césariot a trouvé quelque chose.
-
Comme quoi il suffit de quelques bons meneurs pour aiguiller le suffrage universel de façon qu’il soit le suffrage d’une élite, ce qui lui permet d’échapper aux justes critiques des pessimistes.
-
Brededex – coax – coax ! Où l’on verra deux grenouilles se mettre une paille sur l’épaule et se disputer comme deux charretiers.
-
Marlusse a le choix des armes.
-
D’une conversation, substantielle et brève qu’eurent ensemble M. de Siblas et Maurin.
-
D’un dialogue entre Maurin et son futur beau-père Orsini qui lui donne des nouvelles de Mme Thémis.
-
D’une vilaine rencontre que fit Maurin sur la grand-route ; des ennuis que lui attirèrent à cette occasion son courage et son bon sens naturel, et de l’hommage inattendu qu’il rendit au grand Pasteur.
-
Où sans autre raison que le plaisir de rendre visite à un brave homme, l’auteur conduit le lecteur chez Victorin Pastouré, frère de Parlo-Soulet.
-
Comment Parlo-Soulet comprend les droits de l’homme et où l’on verra qu’il ignorait les plus simples rouages de la machine sociale, bien qu’il eût figuré dans maintes réunions électorales et voté pour la sociale à la suite de son Roi ou, si l’on veut, de son ami Maurin.
-
Comment, le jour du mariage de leurs deux enfants, Maurin et Pastouré entreprirent de faire danser malgré eux les gendarmes leurs ennemis.
-
Où le Roi des Maures éveille, dans la pensée de Tonia, le souvenir de ces Trois Mousquetaires qui étaient toujours quatre.
-
Où l’on aura des documents authentiques et officiels sur l’admirable et tonitruante coutume des bravades de Saint-Tropez.
-
De l’invraisemblable mais authentique discord qui finit par mettre aux prises les deux fanfares de la commune de Bourtoulaigue – et comment Maurin et Pastouré, se trouvant mêlés à cette effroyable querelle, en sortirent à leur honneur, après que ce dernier eut emprunté une clarinette à un musicien pour la prêter à un cheval.
-
Où l’on verra l’illustre bravadeur Maurin des Maures reconnaître l’Espagne comme l’ennemie héréditaire de ses aïeux maures et tropéziens.
-
D’une mémorable conversation entre un instituteur et un sénateur, à laquelle assista Maurin, et d’où il appert que la République française obéit à un roi qui s’est donné cette devise : « Abrutir pour gouverner. »
-
Comme quoi le grand Empereur recula devant un Six-Fournain.
-
Une chasse qui n’est pas provençale et que les braconniers Maurin et Pastouré se refusent à faire.
-
À sa manière, Maurin des Maures prend enfin part aux jeux nationaux, pour la plus grande joie de quatre mille spectateurs.
-
Où l’on verra par quel procédé léonin les grands viticulteurs algériens assurent l’abondance de leurs vendanges aux dépens des viticulteurs de Provence.
-
Qui révèle un genre de chasse inédit, et où l’on verra Parlo-Soulet avouer qu’il a besoin de parler.
-
De l’agréable conversation que la jolie Corsoise eut avec son mousquetaire, et comment, en sa qualité de dragon chargé d’une reconnaissance, Parlo-Soulet se vit dans la nécessité de rendre compte de sa mission et fut prolixe sans être ennuyeux, bien qu’il ne se parlât pas à lui-même.
-
Comment se fait la chasse au mousquetaire dans les forêts domaniales des Maures en Provence.
-
M. Rinal, aidé de Maurin, découvre un cœur humain dans un melon.
-
Où l’on verra, grâce à la visite singulière que fit à M. Cabissol une veuve éplorée, qu’il y a morale et morale.
-
Le merle des fanfares.
-
Chapitre XLI D’une journée d’ouverture de chasse où Maurin eut une grave conversation avec une sirène dans les flots bleus ; et une autre non moins importante, durant un repas champêtre, avec un juge d’instruction qui aimait beaucoup le melon.
-
Chapitre XLII Maurin des Maures émule de M. de Montesquieu, illustre auteur de L’Esprit des Lois.
-
Chapitre XLIII Qui est la suite du précédent, et où, après avoir appris pour quelles raisons la chasse aux petits oiseaux n’est pas indigne d’attention, on verra Pastouré en querelle avec un lapin et deux magistrats aux prises avec un excellent melon d’été.
-
Chapitre XLIV Où l’on verra, d’après son propre aveu, quelles étaient les odeurs favorites d’un gueux parfumé, et quelle mésaventure les bons gendarmes n’avouèrent jamais.
-
Chapitre XLV Rari nantes in gurgite vasto.
-
Chapitre XLVI Comme quoi les présomptions trompent vite ceux qui ne demandent qu’à être trompés.
-
Chapitre XLVII La beauté du fléau hideux.
-
Chapitre XLVIII Maurin l’Incendiaire.
-
Chapitre XLIX
-
Chapitre L Comment, sous les traits de Pastouré, la Vérité parla abondamment au fond d’un puits, et dit à Maurin des choses les plus réjouissantes ou les plus tristes du monde selon le caractère de qui les écoute, mais certainement fort bonnes à connaître.
-
Chapitre LI Pastouré raconte l’histoire des Merlates qui étaient des merles.
-
Chapitre LII Où Césariot est bien forcé de reconnaître qu’il doit la vie à son père.
-
Chapitre LIII Où l’on verra ce qu’on peut trouver quelquefois, mais rarement, dans une jarre, et comment une chevrette s’empare d’un loup.
-
CHAPITRE LIV Un vieux renard est pris au piège par une galinette.
-
CHAPITRE LV La délicieuse petite bergère.
-
CHAPITRE LVI La Corsoise.
-
CHAPITRE LVII Une agonie de sanglier.
-
CHAPITRE LVIII M. Rinal sonde la blessure de Maurin.
-
Le testament de Maurin des Maures.
-
CHAPITRE LX Le grimoire des bergers.
-
À propos de cette édition électronique