Ils sont tous inédits.
« L’ondée et conte du soleil et de la route » sont datés d’Avril 1905.
« À travers les étés » accompagnait une lettre du 23 Juillet 1905.
« Chant de route » est daté d’Août 1905.
« Sous ce tiède restant… » est du 2 Septembre 1905.
« Premières brumes de septembre » est aussi de 1905.
« Et maintenant que c’est la pluie… » de Janvier 1906.
« Dans le chemin qui s’enfonce à la ferme » d’Août 1906.