1 Et je vis dans le ciel un autre signe, grand et merveilleux : sept anges, ayant sept plaies, les dernières ; car en elles le courroux de Dieu est consommé.
2 Et je vis comme une mer de verre, mêlée de feu, et ceux qui avaient remporté la victoire sur la bête, et sur son image, et sur le nombre de son nom, se tenant debout sur la mer de verre, ayant des harpes de Dieu.
3 Et ils chantent le cantique de Moïse, esclave de Dieu, et le cantique de l’Agneau, disant : Grandes et merveilleuses sont tes œuvres, *Seigneur, Dieu, Tout-puissant ! Justes et véritables sont tes voies, ô Roi des nations !
4 Qui ne te craindrait, *Seigneur, et qui ne glorifierait ton nom ? car seul tu es saint* ; car toutes les nations viendront et se prosterneront devant toi ; parce que tes faits justes** ont été manifestés.
— v. 4* : saint, ou pieux, ici et 16:5 ; Actes 2:27 ; 2 Chroniques 6:41-42. — v. 4** : voir note à 19:8.
5 Et après ces choses je vis : et le temple du tabernacle du témoignage dans le ciel fut ouvert.
6 Et les sept anges qui avaient les sept plaies sortiront du temple, vêtus d’un lin pur et éclatant, et ceints sur leurs poitrines de ceintures d’or.
7 Et l’un des quatre animaux donna aux sept anges sept coupes d’or, pleines du courroux de Dieu qui vit aux siècles des siècles.
8 Et le temple fut rempli de la fumée qui procédait de la gloire de Dieu et de sa puissance ; et personne ne pouvait entrer dans le temple, jusqu’à ce que les sept plaies des sept anges fussent consommées.