MÉDITATION XIX DE L’AMANT

Nous offrons les maximes suivantes à vos méditations.

Il faudrait désespérer de la race humaine si elles n’avaient été faites qu’en 1830 ; mais elles établissent d’une manière si catégorique les rapports et les dissemblances qui existent entre vous, votre femme et un amant ; elles doivent éclairer si brillamment votre politique, et vous accuser si juste les forces de l’ennemi, que le magister a fait toute abnégation d’amour-propre ; et si, par hasard, il s’y trouvait une seule pensée neuve, mettez-la sur le compte du diable qui conseilla l’ouvrage.

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