C'est par le loisir que j'ai, en partie, grandi.
A mon grand détriment ; car le loisir, sans fortune, augmente les dettes, les avanies résultant des dettes.
Mais à mon grand profit, relativement à la sensibilité, à la méditation, et à la faculté du dandysme et du dilettantisme.
Les autres hommes de lettres sont, pour la plupart, de vils piocheurs très ignorants.