Table des illustrations
Je prendrai pour point de départ l’hôtel des Grands Hommes…, photographie de Jacques-André Boiffard.
Manoir d’Ango, le colombier, Cour intérieure et colombier du manoir d'Ango (1532), photographie de Jean-Paul Grandmont (CC Attribution-Share Alike 3.0 Unported)
Si je dis qu’à Paris la statue d’Étienne Dolet…, Statue d’Étienne Dolet, détail d’une Vue de la place Maubert en 1899, photographie d’Eugène Atget.
Paul Éluard, vers 1911, anonyme.
Les mots : BOIS-CHARBONS, Magasin Bois & Charbons, photographie de Jacques-André Boiffard.
Quelques jours plus tard, Benjamin Péret était là…, Portrait de Benjamin Péret, anonyme.
Je revois maintenant Robert Desnos…, détail de Robert Desnos et Youki, photographie de Menerbes.
Non : pas même la très belle et très inutile Porte Saint-Denis…, photographie de Jacques-André Boiffard.
Ce film de beaucoup celui qui m’a le plus frappé…, Programme du film L’Étreinte de la pieuvre : 5e épisode.
À propos du Théâtre Moderne…, Lettre de L. Mazeau à Breton à propos du Théâtre Moderne.
L’enfant de tout à l’heure entre sans dire mot…, Une scène des Détraquées de Pierre Palau, photographie d’Henri Manuel.
Blanche Derval…, portrait d’Henri Manuel.
Comme je m’étais rendu au « marché aux puces » de Saint-Ouen…
Pervers enfin comme cette sorte de demi-cylindre blanc irrégulier…, objet non identifié.
La librairie de L’Humanité …, photographie de Jacques-André Boiffard.
À la Nouvelle France…, Le restaurant À la nouvelle France.
M me Sacco, voyante, 3, rue des Usines…
Nous nous faisons servir dehors par le marchand de vins…, Le marchand de vins, Place Dauphine, photographie de Jacques-André Boiffard.
Devant nous fuse un jet d’eau dont elle paraît suivre la courbe…, Un bassin avec jet d’eau, photographie de Jacques-André Boiffard.
En tête du troisième des Dialogues entre Hylas et Philonous.
La Profanation de l’Hostie, détail de la prédelle de Paolo Uccello.
Je viens précisément de m’occuper de cette époque…, Image de Histoire de la France .
CAMÉES DURS …, Magasin de camées durs, rue de Rivoli, photographie de Jacques-André Boiffard.
Boulevard Magenta devant le « Sphinx-Hôtel »…, Enseigne du Sphinx-Hôtel, boulevard de Magenta, photographie de Jacques-André Boiffard.
À l’exception du masque rectangulaire dont elle ne peut rien dire…, L’Attente – L’Envie – L’Amour – L’Argent, dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Les yeux de fougère…, photomontage d’André Breton.
Là, tout en haut du château dans la tour de droite…, château de Saint-Germain-en-Laye.
« La Fleur des amants », dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Un portrait symbolique d’elle et de moi…,dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Le rêve du chat…,dessin et collage de Nadja (Léona Delcourt).
De manière à pouvoir varier l’inclinaison de la tête…,dessin et collage de Nadja (Léona Delcourt).
Autre dessin de Nadja…
Autre dessin de Nadja « Le salut du diable »…
Un vrai bouclier d’Achille…, dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Au dos de la carte postale…, dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Le clou et la corde extérieurs au personnage qui m’ont toujours intrigué…, Le Joueur de guitare, tableau de Juan Gris.
« Tiens, Chimène ! »…, Masque de Nouvelle-Bretagne.
« Je t’aime, je t’aime. »…, Statue-fétiche de l’Île de Pâques.
L’affiche lumineuse de « Mazda » sur les grands boulevards…, Affiche publicitaire pour l’ampoule Mazda, photographie de Jacques-André Boiffard.
Comme le professeur Claude à Sainte-Anne…, portrait d’Henri Manuel.
« L’Âme du Blé », dessin de Nadja (Léona Delcourt).
Henry Becque, buste dessin de Rodin.
J’envie (c’est une façon de parler) tout homme qui a le temps de préparer quelque chose comme un livre…, André Breton portrait d’Henri Manuel.
N’ont pu être reproduits dans cette édition (non libres de droits) : Gant de femme en bronze par Lise Deharme ; L’Angoissant Voyage, tableau de Giorgio De Chirico ; Mais les hommes n’en sauront rien, tableau de Max Ernst ; « Cette femme feignant de se dérober dans l’ombre pour attacher sa jarretelle… », statue de cire du musée Grévin, Pablo Volta en 1959 ; Les Aubes, plaque indicatrice du restaurant Sous Les Aubes à Avignon, photographie de Valentine Hugo en 1932.
