[HH] Of Fenelon, of Calvin and of Christ.—[MS. erased.]
[366] [Compare Childe Harold, Canto II. stanza vii. line 1, Poetical Works, 1899, ii. 103, note 2.]
[HI] Picking a pebble on the shore of Truth.—[MS. erased.]
[367] ["Sir Isaac Newton, a little before he died, said, 'I don't know what I may seem to the world; but, as to myself, I seem to have been only like a boy playing on the sea shore, and diverting myself in now and then finding a smoother pebble or a prettier shell than ordinary whilst the great ocean of truth lay all undiscovered before me.'"—Spence, Anecdotes (quoting Chevalier Ramsay), 1858, p. 40.]
[HJ] {304}From fools who dread to know the truth of Life.—[MS. erased.]
[368] [Compare "Inscription on the Monument of a Newfoundland Dog," lines 7, sq., Poetical Works, 1898, i. 280.]
[369] [Aleksandr Vasilievitch Suvóroff (1729-1800) opened his attack on Ismail, November 30, 1790. His forces, including Kossacks, exceeded 27,000 men.—Essai sur l'Histoire Ancienne et Moderne de la Nouvelle Russie, par le Marquis Gabriel de Castelnau, 1827, ii. 201.]
[370] ["Ismaël est situé sur la rive gauche du bras gauche (i.e. the ilia) du Danube."—Ibid..]
[371] {305}[——"à peu près à quatre-vingts verstes de la mer: elle a près de trois milles toises de tour."—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 201.]
[372] ["On a compris dans ces fortifications un faubourg moldave, situé à la gauche de la ville, sur une hauteur qui la domine: l'ouvrage a été terminé par un Grec. Pour donner une idée des talens de cet ingénieur, il suffira de dire qu'il fit placer les palissades perpendiculairement sur le parapet, de manière qu'elles favorisaient les assiégeans, et arrêtaient le feu des assiégés."—Ibid., p. 202.]
[373] ["Le rempart en terre est prodigieusement élevé à cause de l'immense profondeur du fossé; il est cependant absolument rasant: il n'y a ni ouvrage avancé, ni chemin couvert."—Ibid., p. 202.]
[374] [Casemate is a work made under the rampart, like a cellar or cave, with loopholes to place guns in it, and is bomb proof.—Milit. Dict.]
[375] [When the breastwork of a battery is only of such height that the guns may fire over it without being obliged to make embrasures, the guns are said to fire in barbet.—Ibid.]
[376] {306}["Un bastion de pierres, ouvert par une gorge très-étroite, et dont les murailles son fort épaisses, a une batterie casematée et une à barbette; il défend la rive du Danube. Du côté droit de la ville est un cavalier de quarante pieds d'élévation à pic, garni de vingt-deux pièces de canon, et qui défend la partie gauche."—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 202.]
[377] ["Du côté du fleuve, la ville est absolument ouverte; les Turcs ne croyaient pas que les Russes pussent jamais avoir une flotille dans le Danube."—Ibid., p. 203.]
[378] [Meknop [supposed to be a corruption of McNab], etc., in line three, are real names: Strongenoff stands for Strogonof, Tschitsshakoff for Tchitchagof, and, perhaps, Chokenoff for Tchoglokof.]
[HK] {307}—— these discords of damnation.—[MS. erased.]
[379] ["La première attaque était composée de trois colonnes, commandées par les lieutenans-generaux Paul Potiemkin, Serge Lwow, les généraux-majors Maurice Lascy, Théodore Meknop.... Trois autres colonnes ... avaient pour chefs le comte de Samoïlow, les généraux Êlie de Bezborodko, Michel Koutousow; les brigadiers Orlow, Platow, Ribaupierre.... La troisième attaque par eau n'avait que deux colonnes, sous les ordres des généraux-majors Ribas et Arséniew, des brigadiers Markoff et Tchépéga," etc.—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 207.
Compare—
"Oscharoffsky and Rostoffsky,
And all the others that end in-offsky.
And Kutousoff he cut them off," etc.
Southey's March to Moscow, 1813.]
[380] [Count Boris Petrowitch Scheremetov, Russian general, died 1819; Prince Alexis Borisovitch Kourakin (1759-1829), and Count Alexis Iwanowitch Moussine-Pouschkine (1744-1817) were distinguished statesmen; Chrematoff is, perhaps, a rhyming double of Scherematoff, and Koklophti "a match-piece" to Koclobski.]
[381] {308}[Captain Smith, in the song—
"A Captain bold, in Halifax,
That dwelt in country quarters,
Seduc'd a maid who hang'd herself
One Monday in her garters."
See George Colman's farce, Love Laughs at Locksmiths, 1818, p. 31.]
[382] {309}[Compare—
"While to my shame I see
The imminent death of twenty thousand men,
That for a fantasy and trick of fame
Go to their graves like beds."
Hamlet, act iv. sc. 4, lines 56-59.]
[HL] The Conquest seemed not difficult——.—[MS. erased.]
[383] ["On s'était proposé deux buts également avantageux, par la construction de deux batteries sur l'île qui avoisine Ismaël: le premier, de bombarder la place, d'en abattre les principaux édifices avec du canon de quarante-huit, effet d'autant plus probable, que la ville étant bâtie en amphithéâtre, presque aucun coup ne serait perdu."—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 203.]
[384] ["Le second objet était de profiter de ce moment d'alarme pour que la flottille, agissant en même temps, put détruire celle des Turcs. Un troisième motif, et vraisemblablement le plus plausible, était de jeter la consternation parmi les Turcs, et de les engager à capituler."—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 203.]
[HM] {310}
Unless they are as game as bull-dogs or even tarriers.
or, A thing which sometimes hath occurred to warriors,
Unless they happened to be as game as tarriers.—
[MS. A. Alternative reading.]
Unless they are Game as bull-dogs or even terriers.—[MS. B.]
(Byron erased the reading of MS. B. and superscribed the reading of the text.)
[385] ["Une habitude blâmable, celle de mépriser son ennemi, fut la cause."—Ibid., p. 203.]
[386] [" ... du défaut de perfection dans la construction des batteries; on voulait agir promptement, et on négligea de donner aux ouvrages la solidité qu'ils exigaient."—Ibid., p. 203.]
[387] {311}["Le même esprit fit manquer l'effet de trois brûlots; on calcula mal la distance; on se pressa d'allumer la méche, ils brûlèrent au milieu du fleuve, et quoiqu'il fût six heures du matin, les Turcs, encore couchés, n'en prirent aucun ombrage."—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 203.]
[388] ["1er Dec. 1790. La flottille russe s'avança vers les sept heures; il en était neuf lorsqu'elle se trouva à cinquante toises de la ville [d'Ismaël]: elle souffrit, avec une constance calme, un feu de mitraille et de mousqueterie...."—Ibid., p. 204.]
[389] [" ... près de six heures ... les batteries de terre secondaient la flottille; mais on reconnut alors que les canonnades ne suffiraient pas pour réduire la place, on fit la retraite à une heure. Un lançon sauta pendant l'action, un autre dériva par la force du courant, et fut pris par l'ennemi."'—Hist. de la Nouvelle Russie, ii. 204.]
[390] {312}[For Delhis, see Poetical Works, 1899, ii., note 1.]
[391] ["Les Turcs perdirent beaucoup de monde et plusieurs vaisseaux. A peine la retraite des Russes fut-elle remarquée, que les plus braves d'entre les ennemis se jetèrent dans de petites barques et essayèrent une descente: le Comte de Damas les mit en fuite, et leur tua plusieurs officiers et grand nombre de soldats."—Hist. de la Nouvelle Russie, p. 204.]
[392] ["On ne tarirait pas si on voulait rapporter tout ce que les Russes firent de mémorable dans cette journée; pour conter les hauts faits d'armes, pour particulariser toutes les actions d'éclat, il faudrait composer des volumes."—Ibid., p. 204.]
[393] ["Parmi les étrangers, le prince de Ligne se distingua de manière à mériter l'estime générale; de vrais chevaliers français, attirés par l'amour de la gloire, se montrèrent dignes d'elle: les plus marquans étaient le jeune Duc de Richelieu, les Comtes de Langeron et de Damas."—Ibid., p. 204.
Andrault, Comte de Langeron, born at Paris, January 13, 1763, on the outbreak of the Revolution (1790) took service in the Russian Army. He fought against the Swedes in 1790, and the Turks in 1791, and, after serving as a volunteer in the army of the Duke of Brunswick (1792-93), returned to Russia, and was raised to the rank of general in 1799. He commanded a division of the Russian Army in the German campaign of 1813, and entered Paris with Blücher, March 30, 1814. He was afterwards Governor of Odessa and of New Russia; and, a second time, fought against the Turks in 1828. He died at St. Petersburg, July 4, 1831. Joseph Elizabeth Roger, Comte de Damas d'Antigny, born at Paris, September 4, 1765, owed his commission in the Russian Army to the influence of the Prince de Ligne. He fought against the Turks in 1787-88, and was distinguished for bravery and daring. At the Restoration in 1814 he re-entered the French Army, was made Governor of Lyons; shared the temporary exile of Louis XVIII. at Ghent in 1815, and, in the following year, as commandant of a division, took part in repressing the revolutionary disturbances in the central and southern departments of France. He died at Cirey, September 3, 1823.—La Grande Encyclopédie.]
[394] {313}[Charles Joseph, Prince de Ligne, was born at Brussels, May 12, 1735. In 1782 he visited St. Petersburg as envoy of the Emperor Joseph II., won Catherine's favour, and was appointed Field Marshal in the Russian Army. In 1788 he was sent to assist Potemkin at the siege of Ochakof. His Mélanges Militaires, etc., were first published in 1795. He died in November, 1814.
Josef de Ribas (1737-c. 1797).]
[395] ["L'Amiral de Ribas ... déclara, en plein conseil, que ce n'était qu'en donnant l'assaut qu'on obtiendrait la place: cet avis parut hardi; on lui opposa mille raisons, auxquelles il répondit par de meilleures." —Hist. de la Nouvelle Russie, ii, 205.]
[396] {314}[Prince (Gregor Alexandrovitch) Potemkin, born 1736, died October 15, 1791. "He alighted from his carriage in the midst of the highway, threw himself on the grass, and died under a tree" (Life of Catherine II., by W. Tooke, 1880, iii. 324). His character has been drawn by Louis Philippe, Comte de Ségur, who, writes Tooke (ibid., p. 326), "lived a long time in habits of intimacy with him, and was so obliging as to delineate it at our solicitation." "In his person were collected the most opposite defects and advantages of every kind. He was avaricious and ostentatious, ... haughty and obliging, politic and confiding, licentious and superstitious, bold and timid, ambitious and indiscreet; lavish of his bounties to his relations, his mistresses, and his favourites, yet frequently paying neither his household nor his creditors. His consequence always depended on a woman, and he was always unfaithful to her. Nothing could equal the activity of his mind, nor the indolence of his body. No dangers could appal his courage; no difficulties force him to abandon his projects. But the success of an enterprise always brought on disgust.... Everything with him was desultory; business, pleasure, temper, carriage. His presence was a restraint on every company. He was morose to all that stood in awe of him, and caressed all such as accosted him with familiarity.... None had read less than he; few people were better informed.... One while he formed the project of becoming Duke of Courland; at another he thought of bestowing on himself the crown of Poland. He frequently gave intimations of an intention to make himself a bishop, or even a simple monk. He built a superb palace, and wanted to sell it before it was finished. In his youth he had pleased her [Catherine] by the ardour of his passion, by his valour, and by his masculine beauty.... Become the rival of Orloff, he performed for his sovereign whatever the most romantic passion could inspire. He put out his eye, to free it from a blemish which diminished his beauty. Banished by his rival, he ran to meet death in battle, and returned with glory."]
[397] {315}["Ce projet, remis à un autre jour, éprouva encore les plus grandes difficultés; son courage les surmonta: il ne s'agíssait que de déterminer le Prince Potiemkin; il y réussit. Tandis qu'il se démenait pour l'exécution de projet agréé, on construisait de nouvelles batteries; on comptait, le 12 décembre, quatre-vingts pièces de canon sur le bord du Danube, et cette journée se passa en vives canonnades."—Histoire de la Nouvelle Russie, ii. 205.]
[HN] Into all aspirants for martial praise.—[MS. erased.]
[398] ["Le 13e, une partie des troupes était embarquée; on allait lever le siège: un courrier arrive.... Ce courrier annonce, de la part du prince, que le maréchal Souwarow va prendre le commandement des forces réunies sous Ismaël."—Ibid., p. 205.]
[399] {316}["La lettre du Prince Potiemkin à Souwarow est très courte; elle peint le caractere de ces deux personnages. La voici dans toute sa teneur: 'Vous prendrez Ismaël à quel frix que ce soit!'"—Hist, de la Nouvelle Russie, ii. 205.]
[400] ["[Le courrier] est témoin des cris de joie du Turc, qui se croyait à la fin de ses maux."-Ibid., p. 205.]
[401] ["Beat," as in "dead-beat," is occasionally used for "beaten."—See N.E.D., art. "Beat," 10.]
[402] ["Le 16e, on voit venir de loin deux hommes courant à toute bride: on les prit pour des Kozaks; l'un était Souwarow, et l'autre son guide, portant un paquet gros comme le poing, et renfermant le bagage du général."-Hist, de la Nouvelle Russie, ii. 205.
M. de Castelnau in his description of the arrival of Suvóroff on the field of battle (Hist, de la N.R., 1827, ii. pp, 205, 206) summarizes the Journal of the Duc de Richelieu. The original passage runs as follows:—
"L'arrivée du comte Souvorow produisit un grand effet parmi les troupes.... La manière d'être plus que simple, puis-qu'il logeait sous une canonnière, et qu'il n'avait pas même de chaises dans sa tente, son affabilité, sa bonhomie lui conciliaient l'affection de tous les individus de son armée. Cet homme singulier qui ressemble plus à un chef de cosaques ou de Tartares, qu'au général d'une armée européenne, est doué d'une intrépidité et d'une hardiesse peu communes.... La manière de vivre, de s'habiller et de parler du comte Souvorow, est aussi singulière que ses opinions militaires.... Il mangeait dans sa tente assis par terre autour d'une natte sur laquelle il prenait le plus détestable repas. L'après-midi, un semblable repas lui servait de souper, il s'endormait ensuite pendant quelques heures, passait une partie de la nuit à chanter, et a la pointe du jour il sortait presque nu et se roulait sur l'herbe assurant que cet exercice lui était necessaire pour le préserver des rhumatismes.... Sa manière de s'exprimer dans toutes les langues est aussi singulière que toute sa façon d'être, ses phrases sont incohérentes, et s'il n'est pas insensé, il dit et fait du moins tout ce qu'il faut pour le paraître; mais il est heureux et cette qualité dont le Cardinal Mazarin faisait tant de cas, est, à bon droit, fort estimée de l'Impératrice et du Prince Potemkin ... Le moment de l'arrivée du Comte Souvorow fut annoncé par une décharge générale des batteries ou camp et de la flotte."—Journal de mon Voyage en Allemagne. Soc, Imp. d'Hist de Russie, 1886, tom. liv. pp. 168, 169.]
[HO] {317}That sage John Bull——.—[MS.]
That fool John Bull——.—[MS. erased.]
[403] {319}["La première attaque était composée de trois colonnes ... Trois autres colonnes, destinées a la seconde attaque, avaient pour chefs, etc.... La troisième attaque par eau n'avait que deux colonnes."—Hist, de la Nouvelle Russie, ii. 207.]
[404] ["On construisit de nouvelles batteries le 18e.... On tint un conseil de guerre, on y examina les plans pour l'assaut proposés par M. de Ribas, ils réunirent tous les souffrages."—Ibid., p. 208.]
[HP] For once by some odd sort of magnanimity.—[MS. erased.]
[HQ] Bellona shook her spear with much sublimity.—[MS. erased.]
[405] Fact: Suwaroff did this in person.
[HR]—— and neither swerve nor spill.—[MS. erased.]
[406] ["Le 19e et le 20e, Souwarow exerçailes soldats; il leur montra comment il fallait s'y prendre pour escalader; il enseigna aux recrues la manière de donner le coup de baïonnette."—Ibid., p. 208.]
[407] {320}["Pour ces exercices d'un nouveau genre, il se servit de fascines disposées de manière a représenter un Turc."-Hist, de la Nauvelle Russie, ii. 208.]
At which your wise men laughed, but all their Wit is
Lost, for his repartee was taking cities.—[MS. erased.]
For some were thinking of their wives and families,
And others of themselves (as poet Samuel is).
—[MS. Alternative reading.]
And others of themselves (as my friend Samuel is).
—[MS. erased.]
[408] [For a detailed account of Suvóroff's personal characteristics, see The Life of Field-Marshal Souvaroff, by L.M.P. Tranchant de Laverne, 1814, pp. 267-291; and Suvóroff, by Lieut.-Colonel Spalding, 1890, pp. 222-229.
Byron's epithet "buffoon" (line 5) may, perhaps, be traced to the following anecdote recorded by Tranchant de Laverne (p. 281): "During the first war of Poland ... he published, in the order of the day, that at the first crowing of the cock the troops would march to attack the enemy, and caused the spy to send word that the Russians would be upon them some time after midnight. But about eight o'clock Souvarof ran through the camp, imitating the crowing of a cock.... The enemy, completely surprised, lost a great number of men."
For his "praying" (line 6), vide ibid., pp. 272, 273: "He made a short prayer after each meal, and again when going to bed. He usually performed his devotions before an image of St. Nicholas, the patron saint of Russia."
"Half-dirt" (line 5) is, however, a calumny (ibid. p. 272): "It was his custom to rise at the earliest dawn; several buckets of cold water were thrown over his naked body."
The same writer (p. 268) repudiates the charges of excessive barbarity and cruelty brought against Suvóroff by C.F.P. Masson, in his Mémoires Secrets sur la Russie (vide, e.g., ed. 1800, i. 311): "Souvorow ne scroit que le plus ridicule bouffon, s'il n'étoit pas montré le plus barbare guerrier. C'est un monstre, qui renferme dans le corps d'un singe l'âme d'un chien de boucher. Attila, son compatriote, et don't il descend, peut-être ne fut ni si heureux, ni si féroce."
Suvóroff did not regard himself as "half-demon." "Your pencil," he reminded the artist Müller, "will delineate the features of my face. These are visible: but my inner man is hidden. I must tell you that I have shed rivers of blood. I tremble, but I love my neighbour. In my whole life I have made no one unhappy; not an insect hath perished by my hand. I was little; I was big. In fortune's ebb and flow, relying on God, I stood immovable—even as now." (Suvóroff, 1890, p. 228, note.)]
[409] {322}[See, for instance, The Storm, in "Souvarof's Catechism," Appendix (pp. 299-305) to the Life, etc., by Tranchant de Laverne, 1814: "Break down the fence.... Fly over the walls! Stab them on the ramparts!... Fire down the streets! Fire briskly!... Kill every enemy in the streets! Let the cavalry hack them!" etc.]
[410] {323}[The "tusk" of the plough is the coulter or share. Compare "Dens vomeris" (Virg., Georg., i. 22).]
[HU] {324}
Of thine imaginary deathless bough
The unebbing sea of blood and tears must flow.—[MS. erased.]
[HV] {326}Entailed upon Humanity's estate.—[MS. erased.]
[HW] {327}
As a brook's stream to cope with Ocean's flood shed
But still we moderns equal you in bloodshed.—[MS. erased.]
[HX] {328}
As in a General's letter when well whacked
Whatever deeds be done I will relate 'em,
With some small variations in the text
Of killed and wounded who will not be missed.—[MS. erased.]
[HY] Whose leisure hours are wasted on an harlot.—[MS. erased.]
[HZ] {329}The desperate death-cry and the Battle's roar.—[MS. erased.]
[411] End of Canto 7. 1822.—[MS.]