VI.

Que ne puis-je emprunter les expressions imagées et retentissantes de la langue starienne, pour décrire ce ciel embrasé par ses astres, comme il l’est dans nos fêtes, quand s’éparpillent dans les airs les jets fulgurants des pièces d’artifice, avec cette différence que, là, chaque étincelle est tout un monde de feu.

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