Tome II
(1846)
DEUXIÈME PARTIE
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Comment frère Gorenflot se réveilla, et de l’accueil qui lui fut fait a son couvent.
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Comment frère Gorenflot demeura convaincu qu’il était somnambule, et déplora amèrement cette infirmité.
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Comment frère Gorenflot voyagea sur un âne nommé Panurge, et apprit dans son voyage beaucoup de choses qu’il ne savait pas.
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Comment frère Gorenflot troqua son âne contre une mule, et sa mule contre un cheval.
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Comment Chicot et son compagnon s’installèrent à l’hôtellerie du Cygne de la Croix, et comment ils y furent reçus par l’hôte.
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Comment le moine confessa l’avocat, et comment l’avocat confessa le moine.
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Comment Chicot, après avoir fait un trou avec une vrille, en fit un avec son épée.
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Comment le duc d’Anjou apprit que Diane de Méridor n’était point morte.
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Comment Chicot revint au Louvre et fut reçu par le roi Henri III.
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Ce qui s’était passé entre monseigneur le duc d’Anjou et le grand veneur.
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Comment se tint le conseil du roi.
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Ce que venait faire M. de Guise au Louvre.
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Castor et Pollux.
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Comment il est prouvé qu’écouter est le meilleur moyen pour entendre.
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La soirée de la Ligue.
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La rue de la Ferronnerie.
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Le prince et l’ami.
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Étymologie de la rue de la Jussienne.
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Comment d’Épernon eut son pourpoint déchiré, et comment Schomberg fut teint en bleu.
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Chicot est de plus en plus roi de france.
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Comment Chicot fit une visite à Bussy, et de ce qui s’ensuivit.
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Les échecs de Chicot, le bilboquet de Quélus et la sarbacane de Schomberg.
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Comment le roi nomma un chef à la Ligue, et comment ce ne fut ni son altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise.
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Comment le roi nomma un chef qui n’était ni son altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise.
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Étéocle et Polynice.
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Comment on ne perd pas toujours son temps en fouillant dans les armoires vides.
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Ventre-saint-gris.
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Les amis.
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Les amants.
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Comment Bussy trouva trois cents pistoles de son cheval et les donna pour rien.
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Diplomatie de M. le duc d’Anjou.
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Diplomatie de M. de Saint-Luc.
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Une volée d’angevins.
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Roland.