À Monsieur Sainte-Beuve, chez M. Ulric Güttinger, à Rouen.

4 août [1830].

Je vous écris ces deux mots à la hâte, cher ami. Nous sommes tranquilles maintenant. La population de Paris s’est admirablement conduite pendant le combat et après la victoire. Espérons que tout ira bien.

Je vais faire mon service de la garde nationale.

Je vous aime plus que je ne puis dire.

Victor.

Embrassez pour moi Güttinguer

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