À Hector Berlioz.

15 février 1842.

Vous savez, mon cher grand poëte, que Dieu dispose. Plaignez-moi donc ; vos admirateurs de la place Royale vont passer leur soirée au chevet d’un enfant malade, au lieu d’aller vous applaudir avec vos admirateurs de tout Paris. J’enverrai deux de vos fanatiques remplir nos deux stalles.

Votre ami.

Victor Hugo.

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