Paris, 20 8bre [1851].
Votre cœur, mon cher et généreux poëte, comprend toutes les abnégations et tous les sacrifices. C’est une joie de souffrir pour ce qui est juste et vrai. Aussi vous nous envoyez des félicitations, et nous vous remercions d’avoir ainsi compris ce que nous sentons.
À bientôt, faites de beaux vers sous vos beaux arbres, pensez aux prisonniers et aux combattants et aimez-nous toujours un peu.
Victor Hugo.