À Paul Meurice.

18 Xbre [1859].

Merci de tout ce que vous avez fait d’excellent et de toutes les peines que vous avez prises pour ce vaillant John Brown. Vous savez qu’ils l’ont tué. (La nouvelle m’est apportée en ce moment même). Le sursis était faux comme cette république est fausse. Il faut que la démocratie française prolonge d’une façon formidable le cri que j’ai jeté. Poussez-y, cher Meurice ! Voyez M. Havin. Voyez nos amis. Écrasons l’infâme. Écrasons l’esclavage.

Je serre tendrement vos chères mains.

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