À François-Victor.

Mardi 26 [mars 1861].

11 heures du matin.

Nous sommes à Weymouth, et en dépit d’un corbillard qui m’a dit bonjour en arrivant, d’un cimetière que j’ai sous ma fenêtre et du glas de la duchesse de Kent qui a fait hier la musique de notre dîner, je suis très bien, la traversée a été bonne et le vent excellent.

Mon cher petit Toto, je t’envoie bien vite ces bonnes nouvelles avec toutes mes tendresses. Donnes-en la moitié à ta sœur, et la moitié à Julie, et garde tout pour toi.

Ton père,103

V.

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