À Paul Meurice.

H.-H., 27 février 1861.

Tout ce que vous faites est bien, et je vous en remercie à demeure.

Ma femme est bien heureuse ; vous voir, même avec des yeux malades, c’est un bonheur ; un des plus doux qu’il y ait. Voilà des années que j’en suis privé. Mais j’espère en cet an de grâce 1861.

Je souffre toujours d’une douleur mal située, à la trachée artère, presque au larynx. On me dit que le changement d’air me guérira. On a sans doute raison. Je demande à Dieu qu’il me permette de finir ce que j’ai commencé. C’est peut-être bien exigeant. — Quoi qu’il en soit, aimez-moi, et tout est bien.

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