À Hector Malot.

Hauteville-House, 27 juin [1862].

Monsieur,

Mes lettres courent après vous. Aug. Vacquerie m’écrit que vous n’avez pas reçu la première et que vous êtes à Londres. J’espère que celle-ci vous parviendra. J’ai lu vos deux excellents et éloquents articles sur Fantine, et je veux vous en remercier deux fois. La reconnaissance admet les duplicata. Vous voilà à Londres. Revenir par Guernesey, ce serait facile pour vous, et charmant pour nous.

Je vous serre la main.

Victor Hugo.

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