À Auguste Vacquerie.

H.-H., 5 avril.

Vous dire merci, c’est comme vous dire bravo. À vous adressés, ces mots-là sont froids. La reconnaissance et l’applaudissement vont jusqu’à l’attendrissement pour l’ami, et jusqu’à l’acclamation pour le poëte. Tout ce que vous avez fait me semble admirablement ce qui était à faire. Remerciez, je vous prie, pour moi qui de droit. Croyez-vous nécessaire que j’écrive une deuxième lettre à Édouard Thierry ? (Il m’a écrit deux fois.) Ici, comme en tout, votre avis fera loi pour moi.

Todo tuyo.

V.

Bagier paie-t-il ? — J’ignore l’adresse de M. A. Glatigny. Voulez-vous lui transmettre ceci ?

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