À Alfred Asseline.

H.-H., 25 juillet.

Cher Alfred, Julie me dit le profond malheur qui te frappe. Le deuil est sur toi comme sur moi. Quel coup pour la pauvre mère ! Heureusement, elle sait que les âmes s’attendent hors de la vie et se retrouvent dans la lumière. Dis-lui ma profonde sympathie et reçois mon plus cordial serrement de main.

Victor Hugo.

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