À Paul Meurice.

23 août. Bruxelles.

Mon doux et cher ami, M. Albert Millaud vous dira ce que nous avons ébauché ici. Rien sans vous. Tout avec vous. Que de choses à nous dire ! Quel dommage que nous soyons cloués tous deux, moi à Bruxelles par l’exil, vous à Paris par le succès ! J’envoie mon cœur à Cadio. Et à vous.

V. H.

Share on Twitter Share on Facebook