À Paul Meurice.

H.-H., 18 juillet.

Que vous êtes bon de me demander ça ! Je n’osais vous offrir si peu de chose, cette petite page après les puissantes et fortes pages de Césara. (Vous avez reçu, n’est-ce pas ? ma lettre sur votre belle préface, ô chevalier de l’esprit, ô paladin du cœur !) — Nous causerons à Bruxelles, car j’espère bien vous y voir, et vous y avoir.

Share on Twitter Share on Facebook