À Victor Pavie.

septembre.

J’ai le cœur navré ; je sens que vous m’aimez toujours un peu ; j’entends votre voix comme la voix de mon passé et de ma jeunesse, doux et sombre appel.

Je suis vieux, j’irai bientôt où est cette grande âme qui vient de partir.

À vous ex imo.

V. H.

Share on Twitter Share on Facebook