À Paul Meurice.

H.-H., 12 juillet.

Encore moi. Toujours moi. Voici une page que je ne crois pas possible de publier en France. Pourtant elle est, je crois, utile. Voulez-vous être assez bon pour la remettre de ma part à M. de Girardin, en lui disant, vu le danger, que c’est pour communication à lui, et non pour insertion au journal.

Pardon. Merci. À vous du plus profond de moi.

V.

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