H.-H., 28 avril.
J’ai toujours dit qu’un grand poëte contient un grand critique ; vous le prouvez. Je viens de lire votre admirable première page sur l’Homme qui Rit. Jugez comme j’attends les suivantes ! Cette magnifique étude sur mon livre, commencée par vous, me paie de toute ma peine. Achevez-la, mon éminent et cher confrère. Ayant la renommée, vous avez le droit de la donner, et je vous remercie, ému et charmé.
Votre vieil ami
Victor Hugo.