À Auguste Vacquerie.

H.-H., 23 février.

Que vous êtes bon, cher Auguste. Votre lettre a été une joie. Ma chère malade décidément mieux, va nous retrouver tous bientôt probablement, vous compris, à Bruxelles, tout cela m’a ravi. Vous me racontez l’incident Kean-Ruy Blas en termes charmants.

Je voudrais bien connaître tous ces braves et vaillants jeunes gens pour les remercier. Serrez pour moi les mains amies.

Voudrez-vous être assez bon pour lire à ma femme la lettre que voici. Je commence à être débordé par la quadruple dépense Paris-Bruxelles-Outremer-Hauteville-House. Quatre maisons, c’est un peu lourd.

Je vous prédis que c’est vous qui serez et qui resterez le vrai maître de Faust.

Tuus

V.

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