à Auguste Vacquerie.

H-H, 31 janvier.

Cher Auguste,

je veux vous dire que je vous aime. Mon Victor est un peu souffrant et ne peut pas travailler comme il le voudrait, et vous vous multipliez, pour faire à la fois sa tâche et la vôtre. Vous écrivez coup sur coup d’admirables articles, vous faites travail double, vous êtes à la fois mon fils et mon frère. Oui, je vous aime bien, allez. Je veux que vous sachiez que rien n’est perdu avec moi, et je vous embrasse tendrement.

V.

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