à Edgar Quinet.

29 décembre.

Cher Quinet,

je sens près de mon cœur votre grande âme. Je saigne, vous rayonnez sur ma blessure. Mon bien-aimé fils vous aimait. Je baise les mains de votre noble femme. Je suis accablé, mais vous savez que j’ai foi. Je crois à l’immortel moi de l’homme comme à l’éternel moi de Dieu. Donc nous nous reverrons tous, et je retrouverai mes bien-aimés. à vous ex imo .

V.

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