à Léon Cladel.

23 août.

J’ai lu votre livre, tout imprégné de vie et de vérité. Vous êtes un robuste esprit, nourri dans la lumière. Courage, car vous aurez à souffrir, étant dans le vrai. Il faut que l’écrivain soit un juste. Vous subirez vaillamment toutes les conséquences de votre fonction. Je vous remercie de m’avoir dédié une des plus belles pages de ce brave et bon livre.

Votre ami.

Victor Hugo.

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