à Paul Meurice.

H-H, 27 janvier.

Que vous êtes bon de m’avoir nommé dans ce charmant chapitre le pan de la prose ! Comme je suis fier d’être dans ce beau livre ! Je vous envoie les bravos éperdus de notre lectrice fanatique qui regrette, comme moi, la rue Pigalle, et qui adore le bon Lahire. Avec quel art vous ramenez ces questions de patries délivrées et de libérations de territoires ! Donnez-nous en beaucoup. Donnez-nous en toujours.

Je vous envoie pour Marion la note finale que vous avez désirée avec raison. Est-il utile que j’en revoie l’épreuve ?

Oh ! Que je voudrais vous avoir là ! Je vous lirais ce que je fais. Il me semble que vous n’en seriez pas mécontent.

Je vous embrasse.

Share on Twitter Share on Facebook