à Paul Meurice.

H-H, 3 juillet.

Cher Meurice, je suis votre débiteur. Voulez-vous me permettre d’augmenter ma dette de 50 francs que je vous prie de remettre à M Millaud, représentant. Il s’agit d’aider Mme Rastoul à aller rejoindre son mari. Pardon et merci.

Victor Hugo.

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