à Yves Guyot.

Hauteville-House, 14 janvier.

J’ai en effet, mon cher et cordial confrère, essayé d’exprimer dans les deux vers que vous voulez bien me citer, la loi politique absolue ; cette loi, vous la développez irrésistiblement dans l’excellent petit livre intitulé nos préjugés politiques . Je vous remercie d’avoir mis sous mes yeux ces pages si logiques et si fermes, et je vous envoie toutes mes félicitations pour le talent et tous mes vœux pour le succès. Je salue en vous un des meilleurs serviteurs de la grande cause du droit. Je vous serre la main, vaillant confrère. Victor Hugo.

Share on Twitter Share on Facebook