au même.

lundi matin 8 décembre.

Cher Meurice,

une erreur déplorable de Mme Chenay dans le numérotage de sa copie crée un déficit de 100 pages dans le tome 3 que je croyais le plus fort. Je m’en aperçois à l’instant. Que faire ? J’aurais bien besoin d’en causer avec vous. Je suis bêtement exaspéré de la bêtise de la copiste ; mais cela ne remédie à rien. Je courrais chez vous, si je n’avais Berru à déjeuner, ce qui me cloue ici. Voulez-vous venir déjeuner avec moi (et lui, mais nous causerons tout de même). J’aurais bien besoin d’un bon avis, et vous êtes la source de secours et de salut. à vous.

V.

Share on Twitter Share on Facebook