À Auguste Vacquerie.

H.-H., 1er août.

Cher Auguste, donc l’empire vous met la main au collet. C’est égal. C’est lui qui est votre prisonnier.

Quelle éclatante polémique vous faites ! Je vais à Bruxelles, j’espère bien vous y voir. Que de choses à nous dire !

Je suis attendri quand je pense à tout ce que vous dépensez, dans ce combat, d’esprit, de puissance et de maestria ! Et Meurice ! vous êtes tous les deux des héros.

Je vous embrasse.

V.

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