À Auguste Vacquerie.

Jeudi soir [1871].

Cher Auguste, j’ai cru devoir conseiller à Victor la plus grande cordialité envers un homme qui a écrit sur sa mère et sur notre deuil la page émue que vous connaissez. Vous ne me blâmerez pas. Quelle page poignante et puissante, le Meurtrier ! Je l’ai lue ce matin, je vais la relire ce soir.

À vous profondément.

V.

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