À Monsieur Ch. Pellarin.

Hauteville-House, 10 juillet 1869.

Vous le savez, cher docteur et cher confrère, nous sommes d’accord sur bien des points. Vous le verrez mieux encore à mesure que mes travaux avanceront. Mes solutions se rapprochent des vôtres ; seulement je laisse une plus grande place au facultatif. Voulant avant tout la liberté, je suis heureux de me sentir en communion avec votre noble esprit. Vous avez supérieurement compris l’Homme qui Rit, et vous avez vu toutes les larmes que résume ce rire. L’avenir nous rendra justice à tous.

En attendant, je serre votre main cordiale.

Victor Hugo.

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