À Jules Simon.

février 1872.

Mon éloquent et cher confrère,

Vous avez magnifiquement parlé de Ruy Blas. Un ami m’envoie le Moniteur du 11 février, et je vous écris, ému, je ne vous remercie ni ne vous félicite. On ne remercie pas la conscience, on ne félicite pas la lumière. Vous avez en vous votre triomphe.

Je tiens seulement à vous dire que je suis profondément votre ami.

Victor Hugo.

Mettez tous mes respects et tous mes hommages aux pieds de Madame Jules Simon.

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