À Paul Meurice.

11 avril.

Cher Meurice, je trouverais bien que le nom de Gambetta fût dans ce livre. Il y était, dans la pièce que voici, et que j’avais retranchée avec beaucoup d’autres pour ne pas trop allonger et ne pas dépasser nos vingt-huit feuilles. Pourtant quatre pages de plus ou de moins importent peu. Lisez ces vers, et si vous êtes d’avis de les mettre, ils prendront place à la fin de juin, et pour ne pas finir sur Trochu, j’ajouterai pour pièce finale de juin, les vingt vers (ci-inclus) sur les enfants. — Jugez et décidez. Il serait bon de retrouver dans les journaux les paroles de Trochu sur mon képi ; elles sont bêtes, mais utiles. Elles sont de juillet (son premier discours à l’Assemblée), mais on ne mettrait pas la date. Il suffirait de citer la phrase exacte. — Tout cela est-il votre avis ? — À vous et à tous.

V.

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