À Paul Meurice.

Samedi.

Cher Meurice, rien ce matin ; à 5 heures, moi absent, on a apporté 100 exemplaires, édition du Rappel ; c’est-à-dire justement ceux qui ne peuvent me servir. Que faire ? Remporter ceux-ci et en apporter d’autres. Sans doute ; mais que de peine tout cela vous donne ! Je suis tout en colère contre ceux qui ont fait ce mistake. Pardonnez-moi tous ces ennuis.

En attendant, le temps se passe, et les exemplaires devraient être en route pour leurs destinataires.

Il faudrait que M. Claye fît reprendre ces 100 Rappel ci m’en envoyât cent autres.

À vous.

V.

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