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Hauteville-House, 31 janvier.

Je m’empresse de vous répondre, mon cher et cordial confrère, je prends en considération le but charitable des représentations dont vous me parlez, j’autorise M E Guimet à faire représenter sa musique du feu du ciel avec mes paroles, sans rien ajouter à mon droit d’auteur (... sur la recette brute) égal au sien. C’est sur mon propre droit d’auteur que je me réserve de prélever la somme destinée au bien-être des quarante petits enfants pauvres à qui je donne ici mon dîner hebdomadaire. Recevez mon meilleur serrement de main.

Victor Hugo.

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