à Monsieur é De Biéville.

dimanche 5 octobre.

Mon gracieux et cher confrère,

j’ai lu votre remarquable page sur Marie Tudor . Vous savez combien m’est précieuse la sympathie d’un esprit élevé comme le vôtre. Je voudrais bien vous serrer la main. Soyez assez bon pour venir dîner avec moi en famille 20 rue Drouot mercredi prochain 8 octobre à sept heures. Je serai bien heureux de causer avec vous, et de vous redire combien je suis votre ami. Un bon oui n’est-ce pas ? Merci d’avance et à vous du fond du cœur.

Victor Hugo.

Share on Twitter Share on Facebook