H-H, 3 juillet.
Cher Meurice, je suis votre débiteur. Voulez-vous me permettre d’augmenter ma dette de 50 francs que je vous prie de remettre à M Millaud, représentant. Il s’agit d’aider Mme Rastoul à aller rejoindre son mari. Pardon et merci.
Victor Hugo.