à Paul Meurice.

vendredi matin 8 août.

Nous étions aux champs-élysées, une brusque et violente attaque de goutte m’a forcé de ramener au gîte la pauvre malade torturée. Voulez-vous, Auguste et vous, me donner ma revanche et ma consolation ? Venez tous les deux dîner avec moi, chez moi, au besoin dans ma chambre, (villa Montmorency, avenue des sycomores, n 5) dimanche 10 (après-demain) à sept heures. Nous serons seuls , et nous causerons. Lockroy déjeune ce matin avec moi, Camille Pelletan dîne avec moi ce soir, et D’Alton Shée demain samedi. J’aurai évidemment bien des choses à vous dire. à vous, passionnément.

V.

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