À Madame Victor Hugo.

H. -H., dim. 18 juillet.

Chère bien aimée, je t’écris un mot en hâte. Je prie notre cher Meurice de te remettre les 500 fr. que tu désires encore. (Il aura remis ce mois-ci tant à Charles qu’à toi 2 500 fr.) — J’écris aujourd’hui à Charles et à Victor à Bruxelles. Je vais lier l’artère de mon livre, c’est-à-dire finir le chapitre que j’écris (c’est l’affaire de quelques jours) puis je partirai. Je serai à Bruxelles presque en même temps que toi. Je remercie notre excellent et cher docteur Allix des bonnes nouvelles qu’il me donne de ta santé. Tout est bien ici. Quel bonheur j’aurai à te serrer dans mes bras.

V.

Tu as raison, il est très important de ne laisser aucune dette à Paris. À

Bruxelles, nous aurons à parler économie. Tu m’aideras. Je compte sur toi.

Share on Twitter Share on Facebook