À Paul Meurice.

Jeudi 10 [octobre 1867].

Je pars ce soir, lundi je serai à Hauteville-house. J’ai reçu hier deux lettres qui m’ont été au cœur, une de vous, exquise, une d’elle, charmante. Dites-lui que, pour tout, je suis à ses ordres, et que mon bonheur serait de lui voir jouer Tisbé, sub umbra alarum tuarum.

Le temps est noir, il pleut ; l’ouest souffle, le vent est furieux, mais je vous aime.

V.

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