H.-H., 14 janvier.
Mon cher Robelin, je reçois cette lettre. Elle me paraît touchante. Lisez-la. C’est un ouvrier qui demande du travail. Pouvez-vous lui en donner, vous architecte ? Si vous le pouvez, faites-le, et votre bon cœur s’épanouira dans une bonne action.
Quel rude hiver ! On est obligé d’émietter misérablement les secours. Je passe ma vie à donner des liards là où il faudrait des billets de mille francs. Je vous recommande mon pauvre ouvrier.
Votre vieil ami.
Victor Hugo.