Au même.

H.-H., dim. 16 [juin 1867].

Je sais, cher Auguste, tout ce que vous faites pour Hernani ; vous prévoyez tout et vous pourvoyez à tout. Je ne vous remercie plus. La reconnaissance n’a pas d’épuisement, mais le remercîment en a. J’ai reçu le très beau volume du Panthéon. J’écrirai à M. Frond. Voulez-vous être assez bon pour mettre cette lettre sous enveloppe à l’adresse de madame Catulle Mendès. — Voilà la bataille qui approche. Vous savez que les correspondants belges ont dit que le gouvernement bonapartiste me gardait un chien de sa chienne. Ce chien-là, le sifflet, vous l’avez magistralement fouaillé. Il doit avoir peur de vous.

À bientôt. À toujours, ami.

V.

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