à Monsieur E De Biéville. jeudi 22 décembre.

Mon cher et cordial confrère, vous avez écrit sur Napoléon le petit une page éloquente que le rappel a reproduite. Je serais heureux de vous serrer la main. Si vous n’avez pas peur d’un dîner de famine, vous seriez bien aimable de venir vous asseoir à ma cantine, pavillon De Rohan, r Rivoli 172 après-demain samedi à 6 h et demie. Votre ami. Victor Hugo.

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