à Paul Meurice et à Auguste Vacquerie. 17 mars.

Chers amis, Barbieux part et vous portera ce mot. Il nous précédera d’un jour. Nous partirons demain vendredi 18 et nous serons à Paris samedi 19, vers midi. Nous arriverons avec le cercueil de ce doux et grand bien-aimé. Je voudrais le déposer près de mon père. Il y a de la place, celle que je me réservais. La tombe de mon père est au père-Lachaise. Il faudrait qu’elle fût ouverte et toute prête. Voulez-vous, mes admirables amis, vous charger de tout cela ? Corbillard, voitures, etc. Le corbillard nous attendrait à la gare d’Orléans, ainsi que les voitures, et nous irions droit au cimetière. Voilà trois nuits que je n’ai dormi. Je vous embrasse, chers, chers amis. V H.

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