à Paul Meurice. H-H, 16 juillet.

Vous êtes une providence. Tout ce que vous avez fait là est admirable. Il y a un danger, c’est que tous les journaux ne se coalisent contre un livre publié par la librairie du rappel . Mais vous êtes inépuisable en bons résultats, et vous saurez parer à ce danger-là comme à tous, et je ne serais pas surpris qu’au lieu d’une coalition contre, vous ne parvinssiez à faire une coalition pour. Donc tout est bien. Venez que je vous embrasse. les quatre vents de l’esprit sont tout prêts. Je n’ai rien fait de mieux, et je serai là tout entier. Et nous parlerons de tout le reste. Je vous lirai ce que vous voudrez. Vous voir transporte ici tout le monde de joie. Cher Meurice, on vous aime bien. Charles vous a envoyé un article qui n’a pas encore paru dans le rappel . L’avez-vous reçu ?

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