À ton tour soutenu par la France unanime,
Laisse donc s’accomplir ton destin magnanime !
Chacun de tes revers pour ta gloire est compté.
Quand le sort t’a frappé, tu lui dois rendre grâce,
Toi qu’on voit à chaque disgrâce
Tomber plus haut encor que tu n’étais monté !
7 juin 1824.