A

Acarnaniens. Ravagés par la Macédoine et l’Étolie, page 153.

Achaïens. État des affaires de ce peuple, ibid.

Actium (bataille d’). Gagnée par Auguste sur Antoine, 145.

ACYNDINE et BARLAAM. Leur querelle contre les moines grecs, 300.

Adresse. Sa définition, 127.

ADRIEN (l’empereur). Abandonne les conquêtes de Trajan, 245. On en murmure, ibid. Rétablit la discipline militaire, 255.

Affranchissement des esclaves. Auguste y met des bornes, 220.

Affranchissements. Motifs qui les avaient rendus fréquents, ibid.

Afrique (villes d’). Dépendantes des Carthaginois : mal fortifiées, 142.

Agriculture (l’) et la guerre étaient les deux seules professions des citoyens romains, 197.

AGRIPPA, général d’Octave. Vient à bout de Sextus Pompée, 219.

ALEXANDRE, successeur d’Héliogabale. Tué par les soldats romains, 256.

ALEXIS COMNÈNE. Événements arrivés sous son règne, 321.

ALEXIS et JEAN COMNÈNE. Repoussent les Turcs jusqu’à l’Euphrate, 322.

Allemagne. Ses forêts élaguées, ses marais desséchés, 305.

Allemands croisés. Paient cher les fautes des croisés français, 322.

Allié (le titre d’) du peuple romain, très-recherché, quoiqu’il emportât avec soi un véritable esclavage, 165.

AMALASONTE, reine des Goths. Fournit des vivres à Bélisaire, 291.

Ambassadeurs romains. Parlaient partout avec hauteur, 164.

Ambition. Mal très-commun dans l’empire grec : pourquoi ? 301.

Anarchie. Règne a Rome pendant les guerres civiles, 222-223.

ANDRONIC PALÉOLOGUE. Abandonne la marine : par quelle raison ? 311. Réponse insolente d’un patriarche de Constantinople au vieux Andronic, 312. Passe sa vie à discuter des subtilités théologiques, 313.

ANDRONIC COMNÈNE. Le Néron des Grecs, 319.

Angleterre. Sagesse de son gouvernement, 187.

ANNIBAL. A quoi il dut ses victoires contre les Romains, 144. Obstacles sans nombre qu’il eut à surmonter, 140. Justifié du reproche qu’on lui fait communément de n’avoir point assiégé Rome immédiatement après la bataille, et d’avoir laissé amollir ses troupes à Capoue, 148. Ce furent ses conquêtes même qui changèrent sa fortune, 149. Critique de l’auteur sur la façon dont Tite-Live fait parler ce grand capitaine, 150. Réduit par Scipion à une guerre défensive, il perd une bataille contre le général romain, 151.

ANTIOCHUS. Sa mauvaise conduite dans la guerre qu’il fit aux Romains, 158. Traité déshonorant qu’il fit avec eux, 159.

ANTOINE. S’empare, du livre des raisons de César, 213. Fait l’oraison funèbre de César, 214. Veut se faire donner le gouvernement de la Gaule Cisalpine au préjudice de Décimus Brutus, qui en est revêtu, 215. Défait à Modène, 210. Se joint avec Lépide et Octave, ibid. Réuni à Octave, ils poursuivent Brutus et Cassius, ibid. Jure de rétablir la république, perd la bataille d’Actium, 220-221. Une troupe de gladiateurs lui reste fidèle dans ses désastres, 221.

ANTONINS (les deux). Empereurs chéris et respectés, 247.

APPIEN. Historien des guerres de Marius et de Sylla, 108.

APPIUS CLAUDIUS. Distribue le menu peuple de Rome dans les quatre tribus de la ville, 186.

Arabes. Leurs conquêtes rapides, 304. Étaient les meilleurs hommes de trait, 305. Bons cavaliers, ibid. Leurs divisions favorables à l’empire d’Orient, 318. Leur puissance détruite en Perse, 319.

ARCADIUS. Fait alliance avec les Wisigoths, 284.

Archers crétois. Autrefois les plus estimés, 132.

Arianisme. Était la secte dominante des Barbares devenus chrétiens, 288. Secte qui domina quelque temps dans l’empire, ibid. Quelle en était la doctrine, 300.

Aristocratie. Succède, dans Rome, à la monarchie, 180. Se transforme, peu à peu, en démocratie, 181.

Armées romaines. N’étaient pas fort nombreuses, 130. Les mieux disciplinées qu’il y eût, 131. Dans les guerres civiles de Rome, n’avaient aucun objet déterminé, 221. Ne s’attachaient qu’à la fortune du chef, ibid. Sous les empereurs, exercaient la magistrature suprême, 257. Dioclétien diminue leur puissance : par quels moyens, 201 et suiv. Les grandes armées, tant de terre que de mer, plus embarrassantes que propres à faire réussir une entreprise, 290.

Armées navales. Autrefois plus nombreuses qu’elles ne le sont, 145.

Armes. Les soldats romains se lassent de leurs armes, 274. Un soldat romain était puni de mort pour avoir abandonné ses armes, 275.

ARSÈNE et JOSEPH. Se disputent le siège de Constantinople : acharnement de leurs partisans, 134.

Arts. Comment ils se sont introduits chez les différents peuples, 134. Étaient réputés, comme le commerce, chez les Romains, des occupations serviles, 197.

Asie. Région que n’ont jamais quitté le luxe et la mollesse, 158.

Association. De plusieurs villes grecques, 152 ; de plusieurs princes à l’empire romain, 257. Regardée, par les chrétiens, comme une des causes ds l’affaiblissement de l’Empire, 278 et suiv.

Astrologie judiciaire. Fort en vogue dans l’empire grec, 301.

Athamanes. Ravagés par la Macédoine et l’Étolie, 153.

Athéniens. État de leurs affaires après les guerres puniques, ibid.

ATTILA. Soumet tout le nord, et rend les deux empires tributaires, 280. Si ce fut par modération qu’il laissa subsister les Romains, ibid. Dans quel asservissement il tenait les deux empires, ibid. et suiv. Son portrait, 281. Son union avec Genseric, 284.

Avares (les) attaquent l’empire d’Orient, 299.

AUGUSTE. Surnom d’Octave, 222. Commence à établir une forme de gouvernement nouvelle, ibid. Ses motifs secrets et le plan de son gouvernement, 223. Parallèle de sa conduite avec celle de César, ibid. S’il a jamais eu véritablement le dessein de se démettre de l’empire, 224. Parallèle d’Auguste et de Sylla, ibidem. Est très-réservé à accorder le droit de bourgeoisie, 220. Met un gouverneur et une garnison dans Rome, 227. Assigne des fonds pour le payement des troupes de terre et de mer, ibid. Avait ôté au peuple la puissance de faire des lois, 231.

AUGUSTIN (saint). Réfute la lettre de Symmaque, 279.

Autorité. Il n’en est pas de plus absolue que celle d’un prince qui succède à une république, 240 et suiv.

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